28 – Le Forbisseur / De Polijster – CCXLIX


CCXLIX

En permettant, que mon si long pener
Pour s’exercer jamais ne diminue,
Tresaisément te peult acertener,
Qu’en fermeté ma foy il insinue,
Affin qu’estant devant toy ainsi nue,
Tu sois un jour clerement congnoissant,
Que mon travail sans cesser angoissant,
Et tressuant a si haulte victoyre,
Augmente a deux double loyer croissant,
A moy merite, a toy louange, & gloyre.

 

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